Antoine Aufray

Antoine Aufray, né en 1979, après des études en classes préparatoire et en licence, puis maîtrise d’allemand à Paris-Sorbonne, à Paris et Berlin, il a poursuivi par un doctorat de linguistique allemande sous la direction de Martine Dalmas. Sa thèse portait sur l’usage rhétorique et l’intégration syntaxique du discours rapporté en allemand oral. Maître de conférences en linguistique allemande à l’université de Strasbourg depuis 2011, il y enseigne la grammaire et linguistique allemande et la traduction depuis 2011. Il a traduit quelques articles dans le domaine des lettres sciences humaines et prépare actuellement la traduction en français d’un classique allemand de la linguistique du 19e siècle.

Till Bardoux

studierte in Berlin Romanistik, Geschichte und Kulturwissenschaften. Seit 2003 als freier Übersetzer geisteswissenschaftlicher und literarischer Werke aus dem Französischen und Englischen tätig. 2005 Bode-Stipendium, 2009 Teilnahme am Goldschmidt-Programm, 2012 Gastdozent an der HU Berlin. Übersetzte u.a. Werke von Louis Marin, Georges Canguilhem, François Jullien, Paul Ricœur, Marc Augé, Mehdi Belhaj Kacem, Jeffrey Jerome Cohen, Pierre Bergounioux, Vincent Almendros und Réjean Ducharme.

Marco Baschera

est professeur de littérature générale et comparée et de littérature française à l’Université de Zurich. Il s’occupe des rapports entre le théâtre et la théorie, voire la philosophie. Une de ses spécialités en tant que comparatiste est le rapport entre la littérature et les arts. Depuis quelques années, il s’intéresse à la polyphonie littéraire et au rapport entre pensée et langues. Il a publié en 2009 „Mehrsprachiges Denken – Penser en langues – Thinking in languages“ (Böhlau, Köln) et en 2011 Lingue al limite dans les Quaderni grigionitaliani, un recueil d’articles portant sur la question des langues en Suisse et en Europe. Il a publié une dizaine d’articles sur l’œuvre de Valère Novarina.

 Lambert Barthelemy

est Maître de Conférences en Littératures Comparées à l’Université de Poitiers. Il a publié un livre de poèmes, métamorphose du commun, aux éditions fissile (2006) et Fictions de l’errance (Handke, McCarthy, Simon) aux éditions Garnier (2012), ainsi que de nombreux articles sur l’art et la littérature modernes et contemporains. Il est en outre traducteur de l’allemand (Adorno, Arnheim, Simmel, Neumann, Zieger…) et dirige les Éditions Grèges (www.greges.net). Actuellement, il travaille à la traduction de Lebensanschauung de G. Simmel (1918, à paraître aux éditions Circé, en 2018) et d’un essai de Jule Jakob Govrin sur Michel Houellebecq (Sexe, Dieu et Capital, à paraître à l’automne 2017 chez Post-éditions).

Armelle Chrétien

est traductrice de langue française et anglaise. Après des études de philosophie et de traduction, elle a traduit plusieurs ouvrages de Brian Massumi (parutions en cours au Presses du réel et aux éditions Lux), ainsi que des articles de sciences humaines et sociales pour des revues (Multitudes, Le Merle) et des conférences universitaires. Elle traduit des catalogues et des entretiens dans différents domaines artistiques (pour la Fondation Boghossian à Bruxelles, le festival du Réel au Centre Pompidou, le théâtre des Amandiers de Nanterre) et a réalisé des travaux de sous-titrage à l’occasion d’expositions au Centre Pompidou, à la Fondation Cartier et pour plusieurs festivals de cinéma (Cannes, La Rochelle, Dinard, le festival du Réel).

Christine Diefenbacher

studierte Romanistik und Geschichte an der Universität Tübingen und legte nach dem Ersten Staatsexamen die Prüfung zur Staatlich geprüften Übersetzerin (Französisch/Geisteswissenschaften) ab. September 1981 bis März 1982 Stipendiatin des DAAD an der Universität Tours. Übersetzt seit Mitte der achtziger Jahre für renommierte Kunstverlage wie DuMont Ausstellungskataloge und Sachbücher zu Kunst, Geschichte, Kunstgeschichte. 2006 Teilnahme an der 13. Übersetzerwerkstatt Deutsch und Französisch im Europäischen Übersetzerkolleg in Straelen. März 2010 Teilnahme an der 15. Übersetzerwerkstatt Deutsch und Französisch am Collège International des Traducteurs Littéraires in Arles. September 2010 Organisation und Durchführung des Internationalen Übersetzertages in Erlangen zum Thema „Faszination Neu-Übersetzung“. Seit 1985 bildet sie als Dozentin am Institut für Fremdsprachen und Auslandskunde bei der Universität Erlangen-Nürnberg Übersetzer und Dolmetscher der Fachrichtung Französisch/Geisteswissenschaften aus.

Fabienne Durand-Bogaert

est agrégée d’anglais, docteur en sciences du langage, enseignante-chercheuse à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, où elle est responsable du séminaire d’histoire et de critique des traductions. Elle est l’auteur d’un essai sur l’écrivain autrichien Peter Handke (Peter Handke, éditions Marval 1991) et deEuropes : del’Antiquité au XXe siècle, anthologie critique et commentée, (en collaboration avec Yves Hersant), Paris, Robert Laffont, coll. “ Bouquins ”, mai 2000, (1024 p.) Elle a traduit, de l’anglais, une vingtaine d’ouvrages de sciences humaines (philosophie, histoire, anthropologie) et d’histoire de l’art.

Inga Frohn

Après des études de lettres modernes à Lyon et différents détours par l’artisanat (entre autres électricité et construction écologique en torchis), une formation sur la santé et la sexualité des femmes et une expérience radiophonique de plusieurs années, Inga Frohn décide d’approfondir ses compétences de traductrice grâce à une formation à distance. En 2011, elle obtient à Berlin le diplôme d’État de traduction, option économie. Elle se lance alors comme traductrice professionnelle, privilegiant les collaborations avec d’autres traductrices et chercheuses. En 2013, elle rejoint l’équipe de traduction de la Via Campesina (mouvement paysan international) pour la conférence internationale de Jakarta, où elle se charge de traduire en français des textes espagnols et anglais. Elle travaille également comme relectrice de traduction.  En 2017, elle fait ses débuts comme traductrice littéraire et se consacre – entre autres lors de l’atelier de traduction franco-allemande ViceVersa du Deutscher Übersetzer Fonds – à l’ouvrage Les Chercheurs d’avenir, troisième roman de l’auteur camerounais Rodrigue Peguy Takou Ndie. En mars 2017 elle suit avec succès le cours « Introduction à l’interprétation pour traducteurs et traductrices » à l’ISG, Ecole d’été internationale de Germersheim. Elle vit aujourd’hui dans les Alpes françaises et séjourne régulièrement à Berlin.

Barbara Fontaine

Née en 1968 à Paris, Barbara Fontaine a fait des études de lettres modernes et de littérature allemande. Après avoir travaillé quelques années dans l’enseignement et dans l’édition, elle se consacre pleinement à la traduction de littérature allemande depuis 1999. Elle a une prédilection pour les romans contemporains (Ursula Krechel, Hans-Ulrich Treichel, Katja Lange-Müller, Thomas Hettche…), mais traduit également des sciences humaines et de la littérature jeunesse.
Elle a reçu le prix André-Gide en 2008 pour la traduction de Un pays invisiblede Stephan Wackwitz et le prix Amphi en 2010 pourPrès de Jedenewde Kevin Vennemann.
Depuis 2009, elle transmet son savoir-faire et son expérience en animant des ateliers de traduction, dans le cadre du Programme Georges-Arthur Goldschmidt d’abord, puis dans celui du programme ViceVersa.

André Hansen

studierte Französische Philologie und Komparatistik in einem trinationalen Studiengang der Universitäten Mainz, Dijon und Bologna. Er arbeitete einige Jahre im Bereich der Internationalisierung von Studiengängen in Mainz und bildete sich als staatlich geprüfter und gerichtlich ermächtigter Übersetzer fort. Unter anderem übersetzte er für die Mainzer Blondel-Forschungsstelle für Religionsphilosophie und die Zeitschrift WestEnd des Instituts für Sozialforschung in Frankfurt am Main. Im Frühjahr 2016 nahm er am Georges-Arthur-Goldschmidt-Programm für junge Literaturübersetzer teil. Er ist der Übersetzer von Garrard Conleys Boy Erased und Michel Henrys L’essence de la manifestation.

Sarah Carlotta Hechler

studierte Politikwissenschaft und Allgemeine und Vergleichende Literaturwissenschaft an der Ludwig-Maximilians-Universität München, der Sciences Po Paris und der Venice International University. Von 2016 bis 2018 absolvierte sie mit einem DAAD-Stipendium ihren Master im Bereich Arts et langages an der École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS) Paris. Im Rahmen ihres Forschungsprojekts zur „unpersönlichen Autobiographie“ Les Années (2008) von Annie Ernaux beschäftigte sie sich auch mit deren deutscher Übersetzung. Darüber hinaus unternahm sie für die von EHESS-Studenten gegründeten online-Revue Mutations einen ersten eigenen Übersetzungsversuch.

Marie Hermann

Née à Paris en 1983, Marie Hermann vit à Marseille où elle travaille comme éditrice, traductrice et interprète. Après être passée par les éditions Wartberg, diaphanes et Agone, elle a co-fondé les éditions Hors d’atteinte, dont les premières parutions sont prévues pour 2019.Elle a notamment traduit L’Homme qui croyait encore aux cigognes, Thomas Rosenlöcher, Le Nouvel Attila (2018, avec Aurélie Maurin), La Brochure de Junius et autres textes sur la guerre, Rosa Luxemburg, Agone (2014), Cette nuit-là, Gila Lustiger, Stock (2013), La Nuit où le Mur est tombé, collectif, inculte (2009).

Isabelle Kalinowski

Germaniste et sociologue de formation, elle est directrice de recherche au CNRS associée au laboratoire « Transferts culturels franco-allemands » à l’Ecole Normale Supérieure, Paris. Ses champs de recherche portent notamment sur Max Weber et l’histoire de la sociologie des religions et des arts traditionnels au début du XXe siècle, en Allemagne et en France. Elle a traduit entre autres des œuvres de Max Weber, Günther Anders, Stefan Zweig et Gottfried Semper.

Esther Kinsky

Studierte Slawistik in Bonn und Toronto. Sie arbeitet seit 1986 als literarische Übersetzerin aus dem Polnischen, Englischen und Russischen, seit 2007 vorwiegend als Autorin von Prosa und Lyrik. Nach Jahren in London lebt sie derzeit in Berlin und Battonya, Ungarn. Zu ihren Veröffentlichungen gehören Naturschutzgebiet, Gedichte und Fotografien(2013), der Roman Am Fluss(2014) und, gemeinsam mit Martin Chalmers, die zweistimmige Reiseerzählung Karadag Oktober 13(2015). Sowohl für ihre übersetzerische als auch für ihre schriftstellerische Arbeit wurde sie mehrfach ausgezeichnet. Zum Sommersemester 2016 übernahm Kinsky die auf ein Jahr befristete Thomas Kling-Poetikdozentur an der Rheinischen Friedrich-Wilhelms-Universität Bonn. 2018 erschien Hain: Geländeroman, der im gleichen Jahr den Preis der Leipziger Buchmesse in der Kategorie „Belletristik“ gewann.

 Olivier Le Lay

Olivier Le Lay est né en 1976 à Saint-Brieuc, reçu en 1996 à l’Ecole Normale Supérieure, il s’oriente assez tôt vers la profession de traducteur professionnel de textes littéraires en langue allemande. En 2004, il reçoit le prix Halpérine-Kaminsky dans la catégorie « Découverte », pour la traduction du livre de Peter Handke, La perte de l’image(Gallimard). Lauréat de nombreux prix (André Gide en 2006, Eugen Helmlé en 2009, prix de traduction Jules Janin de l’Académie Française en 2009, Laure Bataillon en 2014, Gérard de Nerval en 2015), Olivier Le Lay a traduit plus de vingt ouvrages majeurs de la littérature allemande du XXe siècle.

Olivier Mannoni

Journaliste indépendant depuis 1978 (Libération, L’Événement du jeudi, Le Magazine littéraire), il a été critique littéraire à La Quinzaine littéraire, entre 1992 et 1998. Traducteur de l’allemand vers le français, Olivier Mannoni est également l’auteur de biographies de Günter Grass et de Manès Sperber, auteur dont il a dirigé, aux Éditions Odile Jacob, la publication des œuvres complètes. Il s’est consacré à la traduction de plusieurs philosophes allemands tels Hans Blumenberg, Helmuth Plessner, Odo Marquard ou Peter Sloterdijk, de sociologues (Harald Welzer, Wolfgang Sofsky), d’historiens (Peter Reichel, Joachim Fest) et de romanciers. Olivier Mannoni a été de 2007 à 2012 président de l’ATLF (Association des traducteurs littéraires de France). Il a été chargé de concevoir l’école de traduction littéraire créée par le Centre national du livre (CNL/ETL), qui a ouvert ses portes en avril 2012, et la dirige depuis cette date (depuis 2015 dans le cadre d’un partenariat entre le Centre National du Livre et l’Asfored). Il a obtenu en 2018 le prestigieux prix Eugen-Helmlé pour l’ensemble de son oeuvre de traducteur, et notamment pour ses traductions des romans de Frank Witzel, Martin Suter et Milena Michiko Flasar.

Anne Madelain 

est chargée des coopérations internationales aux éditions de l’EHESS et chercheure associée au Centre d’études des mondes russe caucasien et centre-européen (CNRS-EHESS). Ses recherches portent sur l’histoire sociale et culturelle de l’espace post-yougoslave, les relations franco-balkaniques, ainsi sur l’éditions et la traduction des sciences sociales ouvrage à paraitre en 2019 (Presses universitaires François Rabelais) L’expérience française des Balkans (1989-1999).

 Margret Millischer

Studium an der Universität Wien (am Dolmetschinstitut-Französisch/Italienisch und Romanistik/ Kunstgeschichte, Disseration über „Lou Andreas-Salomé in Italien“) und an der ESIT in Paris. Als Übersetzerin und Dolmetscherin in Wien tätig. Lehrbeauftragte am Zentrum für Translationswissenschaft der Universität Wien bis 2017. Literarische Übersetzungen aus dem Französischen, u.a. von Jean-Michel Maulpoix, Bernard Noel, Driss Chraibi, Pierre Bergounioux und Dominique Fernandez.

 Valentina Paniagua

a suivi des études en philosophie à Paris puis à Tübingen avant de faire son master 2 à l’EHESS, au croisement entre philosophie et études théâtrales, avec un mémoire sur l’éthique du jeu chez Louis Jouvet. Parallèlement, elle a suivi une formation de comédienne. A Tübingen, elle commence à s’intéresser à la traduction de poésie et travaille actuellement sur le recueil „Blütenlese“ de la poète Selma Meerbaum Eisinger. Elle s’initie à la traduction de textes de sciences humaines grâce au cours de traduction proposé à l’EHESS, en travaillant sur un texte du philosophe Helmuth Plessner.

Sarah Raquillet

Née à Paris en 1987, Sarah Raquillet étudie la philosophie, la sociologie et la danse contemporaine à Paris et à Berlin. Après avoir travaillé à la librairie parisienne Atout Livre, elle s’intéresse aux différents métiers de la chaîne éditoriale et effectue de nombreux stages à Berlin (notamment chez Elisabeth Ruge Agentur, Lettrétage, Matthes & Seitz Berlin) avant de se consacrer à la traduction littéraire en 2015.

En 2016, elle participe au Programme Georges-Arthur Goldschmidt pour jeunes traducteurs littéraires. Depuis, elle traduit essentiellement des ouvrages de littérature (Maruan Paschen, Kaï. Une histoire d’internat, Éditions eXcès, 2018 ; Julia Wolf, Tout est maintenant, Le Castor Astral, 2018 ; Julia Wolf, Walter Nowak à terre, Le Castor Astral, 2019), mais aussi de sciences humaines (Hartmut Rosa, Résonance, La Découverte, 2018). Sarah Raquillet vit à Berlin.

Arno Renken

Arès des études d’allemand et de philosophie, Arno Renken enseigne aujourd’hui à la Haute école des arts de Berne et à l’Institut littéraire suisse. Il est chargé de cours à l’Université de Lausanne. Il est membre du collectif de chercheurs Groupe de la Riponneet il est membre du comité de rédaction de la revue trilingue d’échanges littéraires Viceversa Littérature. Il codirige également la collection Par ailleurschez Van Dieren Editeur à Paris et  est lui-même auteur de traductions (C. L. Hart Nibbrig, B. Waldenfels). Il est auteur du livre Babel heureuse. Pour lire la traduction(Paris: Van Dieren, 2012).

 Dario Rudy

Né en 1988, Dario Rudy se consacre à la traduction après des études d’anthropologie à l’EHESS et une recherche sur l’influence de la technique sur la notion d’improvisation en musique. C’est d’abord au sein de la revue Volume! qu’il se met à traduire de l’anglais des articles consacrés aux musiques populaires, avant de suivre le master de traduction littéraire de l’université Paris 8 et de se dédier entièrement à la traduction, plus particulièrement de textes touchants au rapport entre musique et société. Actuellement, il traduit pour la Philharmonie de Paris des articles classiques des Popular Music Studiesanglo-saxonnes

 Martin Rueff

Martin Rueff a été maître de conférences à l’UFR « Lettres, arts et cinéma » de l’université Paris VII – Diderot, et il a enseigné à l’université de Bologne. Il est depuis 2010 professeur à l’Université de Genève. Il collabore régulièrement aux revues Po&sie, La Polygrapheet Passages à l’Act, et dirige chez Verdier la collection « Terra d’Altri », spécialisée dans la littérature italienne. Chez Gallimard, il a été responsable de l’édition des Œuvres de Cesare Pavese dans la collection « Quarto » et a participé à celle des œuvres de Claude Lévi-Strauss dans la « Bibliothèque de la Pléiade », ainsi qu’à celles de Michel Foucault en 2015. Il a publié des recueil de poésie ainsi que des ouvrages de théorie critique portant notamment sur Michel Deguy. Il a traduit de nombreux livres dont plusieurs ouvrages de Giorgio Agamben et de Carlo Ginzburg.

Luisa Maria Schulz

studierte Philosophie sowie phasenweise Literaturwissenschaften und Kunstgeschichte in Oxford und Paris. Seit ihrem Studium schreibt und übersetzt sie gelegentlich für deutsche Zeitungen und Zeitschriften zu kulturellen und gesellschaftlichen Themen. Unter anderem übersetzte sie historische Originaltexte verschiedener Denker, aktuelle Essays und Interviews mit zeitgenössischen Philosophen für die deutsch-französische Kollaboration Philosophie Magazin. Sie übersetzt auch Lyrik, wofür sie 2018 am Hieronymus-Programm für junge Literaturübersetzer teilnahm. Das Übersetzen fasziniert sie als philosophische Frage und sprachliches Experiment, auch, weil sie selbst poetische Texte schreibt (Treffen junger Autoren 2009, Textwerkstatt Darmstadt 2018).

Raphaëlle Vaillant

Après un cursus d’études franco-allemandes, Raphaëlle Vaillant  a effectué un master en traduction et médiation interculturelle à Paris avec l’allemand comme langue de travail. Depuis le début de son cursus, elle a forgé le souhait de poursuivre la traduction d’œuvres littéraires, et notamment de poésie. Au cours de l’année 2017-2018, elle s’est ainsi consacrée à la traduction du recueil Aufbruch nach Patagoniend’Esther Kinsky, qu’elle a eu l’occasion de rencontrer lors d’un séminaire de traduction à l’université de traduction à l’université de Bonn.

Ilona Zuber

studierte Angewandte Sprachwissenschaften sowie Übersetzen und Dolmetschen (Französisch und Russisch) an der Universität Saarbrücken. Studienaufenthalte führten sie nach Angers und Moskau. Seit vielen Jahren ist sie als freiberufliche Übersetzerin insbesondere für die Institutionen der Europäischen Union tätig und übersetzt überwiegend aus dem Französischen und Englischen. Um sich im Bereich des literarischen Übersetzens weiterzuqualifizieren, studierte sie ab 2016 zusätzlich an der Heinrich-Heine-Universität Düsseldorf Literaturübersetzen (Master) (Französisch) und verband dies mit mehreren Aufenthalten am Europäischen Übersetzer-Kollegium Straelen. Sie absolvierte auch Literaturübersetzer-Seminare in Düsseldorf und Lenzburg (Schweiz). 2018 war sie Teilnehmerin des Hieronymus-Programms für Nachwuchsübersetzer des Deutschen Übersetzerfonds.